Hélène Couratin

Merci pour vos petits mots à tous, même si je ne connais pas tout le monde.

Quelle tristesse d'apprendre, trop tardivement(!), le décès d'Hélène notre nièce. J'avais beaucoup d'affection pour elle et je me remémore toutes ces années depuis son enfance. Ces dernières années, nous avons essayé, avec Daniel, de lui venir en aide du mieux possible. Elle était une belle personne, intelligente et riche de sentiments. Elle souffrait tant de la solitude qui lui était, en quelque sorte, imposée par sa famille. Elle aurait tant aimé connaître un peu plus ses petits-enfants et les voir grandir. J'espère, Hélène, que tu trouveras, où tu es désormais, le bonheur auquel tu avais droit. Repose, enfin, en paix.

C'est avec tristesse que nous apprenons le décès d'Hélène d'autant plus que nous l'avons appris indirectement avec le sentiment d'avoir été ignorés. Nous avons pourtant reçu Hélène à plusieurs reprises lors des affaires de succession qu'elle avait à régler à Grenoble. Nous en gardons le souvenir d'une enfant intelligente, sensible et intéressée par beaucoup de choses. Si la vie professionnelle l'a malmenée elle a montré qu'elle était une entrepreneuse.

Désolée d'apprendre le décès d'Hélène si tôt dans la vie. Je garde le souvenir d'une grande cousine douce, gentille et discrète. Elle faisait de super desserts comme les îles flottantes lors de mes séjours chez les Couratin. Toutes mes amitiés à ses filles Maryse et Céline. Puissent elles conserver le meilleur de leur maman dans leurs coeurs. Christine

Condoléances attristées de la part de Catherine, Pascale et Denis. Nous serons avec vous par la pensée demain à 9h Nous vous embrassons

De tout coeur avec vous dans cette epreuve. Nous unissons désormais le souvenir d'Hélène à celui de nos amis Loulette et Pierre, et de Françoise.

Nous souhaitons, Éric et Anne-Laure, voisins et amis à Murjas, vous adresser nos très sincères condoléances. Une fois passée cette épreuve difficile, nous aimerions parler avec vous de votre mère que nous avons très bien connu. Anne-Laure Mériau et Éric Rouger