Marie Eïline Gisèle Durand-Dubreuil

Miquette a été la victime des coutumes Françaises des années d’après-guerre. La femme n’était pas reconnue comme égale, au plus à prendre avantage. Après avoir perdue son mari avec 2 enfants, tres jeune, la France de l’époque ne lui a pas permis de refaire sa vie. Elle a refait sa vie comme elle le pouvait, elle n’avait pas le choix. Mes parents, Suzanne et Marcel Landras, et moi mêmes avaient compris sa situation et lui avons donnée de l’aide moral, et une vie de famille, si je peux dire. Elle a aimé vivre et a été la meilleure mère possible. Martine et Daniel sont devenue des adultes normaux, élevées dans des conditions très difficiles. J’ai de très bons souvenir de Miquette. Je l’ai vue pour la dernière fois quand je travaillais en France. J’ai même été lui rendre visite dans le village en Ardèche. J’avais essayé de communiquer avec elle par email, sans vraiment avoir de résultat. 94 ans est la fin d’une bonne vie, et une belle mort. Son ami lui a certainement donne une fin de vie familiale que la France a voulut lui refuser. Daniel, Martine mes sincères condoléances, Miquette resteras dans mes derniers souvenirs.